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Journée mondiale du malade et dimanche de la santé

Cette année, la Journée mondiale du malade coïncide avec le dimanche de la santé, le 11 février. Thème 2024 : « De partout on venait à lui » (Mc 1,45).

Soigner le malade en soignant les relations

Depuis 1992, l’Église universelle célèbre tous les 11 février, fête de Notre-Dame de Lourdes, la Journée Mondiale du Malade. Son thème cette année est « Il n’est pas bon que l’homme soit seul ». La Journée mondiale du malade se décline dans les diocèses français en un Dimanche de la Santé, pour rappeler que l’accompagnement des personnes souffrantes et la préservation du don de santé sont des priorités évangéliques. La santé ne concerne pas uniquement les personnes malades, mais aussi l’ensemble des personnes âgées, seules et handicapées. Les soignants eux aussi sont associés aux préoccupations de la Pastorale de la Santé.

En France, le Dimanche de la Santé se vit en paroisse généralement le dimanche le plus proche du 11 février. Cette année, les hasards du calendrier font que toutes les 2 ont lieu de 11 février. Cette journée s’adresse à tous les professionnels de la santé, aux personnes malades, aux handicapés et à tous ceux qui participent à restaurer la santé des personnes. Il s’agit là d’un rendez-vous de l’Église, avec un message d’espérance et de sensibilisation aux problèmes de la santé ; l’Église étant présente sur le terrain de l’accompagnement, au sein des aumôneries hospitalières avec ses équipes de bénévoles qui œuvrent aux côtés d’associations laïques où tant de personnes de bonne volonté s’engagent aussi

Aussi, chaque année, le pape François publie un message à destination de tous à l’occasion de la Journée Mondiale du Malade 

Pourquoi ces deux journées ?

L’accompagnement des personnes souffrantes et la préservation du don de la santé sont des priorités évangéliques. Nous prions pour les personnes malades, âgées ou handicapées, pour les aidants et ceux qui les soignent ; qu’ils puissent tous donner sens à ce qu’ils vivent en regardant Jésus le Sauveur et en allant à Lui.

L’Église est présente sur le terrain de l’accompagnement, au sein des aumôneries hospitalières avec ses équipes de bénévoles qui œuvrent aux côtés d’associations laïques où tant de personnes de bonne volonté s’engagent aussi.

Encourager tous ces volontaires, qui partout en France dans les plus petits villages et les plus grands hôpitaux, dans la discrétion et la simplicité, se rendent présentes au jour le jour à l’autre, malade, seul, isolé, est l’une des dimensions du Dimanche de la santé. Les inviter à approfondir leur engagement, à poursuivre leur formation, à donner du sens à ce service et à cette mission aussi.

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