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À Noël, en Jésus le Messie, le local et l’universel ne font qu’un.

Il est venu.

Il a habité parmi nous.

Devant l’étable ou la grotte, une multitude est venue pour s’incliner et l’adorer :
des savants venus d’ailleurs, de loin, de cultures diverses, et des bergers des environs.

Mais Celui qui est venu, est le Messie des savants et des bergers, de ceux d’ici et de là-bas.

Déjà, à Noël, IL nous interroge : pouvons-nous protéger la paix en construisant des murs ?

Le Prince de la Paix, à Noël,

nous donne déjà à entendre ce qu’il dira plus tard :

« Heureux les artisans de paix, ils seront appelés fils de Dieu. »

Sa venue au monde ne fut pas facile.

La porte du Caravansérail ou de l’hôtel ne s’est pas ouverte pour l’accueillir.

Ils ne l’ont pas reconnu.

Alors Il apprendra et nous apprend à reconnaître en Lui

Celui qui a franchi la porte du ciel pour venir jusqu’à nous.

Pour venir frapper à la porte de nos coeurs : « Voici, je suis à la porte et je frappe, si quelqu’un entend ma voix et ouvre la porte, j’entrerai dans sa maison et mangerai avec lui et lui avec moi » (Ap 3,20).

Il vient pour chacun de nous et pour la multitude.

Il est la porte qui nous ouvre à l’universel !

A Noël, en Jésus le Messie, le local et l’universel ne font qu’un.

En cette année jubilaire de la miséricorde, que la fête de Noël soit une expérience de la tendresse de Dieu pour vous et ceux que vous aimez.

+ Philippe Mousset, 
Evêque de Périgueux et Sarlat

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